Dans le monde d'aujourd'hui, Django ne pardonne pas est un sujet de grande importance qui continue de susciter intérêt et débat. Django ne pardonne pas a longtemps été un point de rencontre pour une grande variété d'opinions, et sa pertinence continue de croître aujourd'hui. Qu'il s'agisse d'aspects historiques, culturels, sociaux ou politiques, Django ne pardonne pas reste un sujet d'actualité constante et continue de susciter la curiosité et l'intérêt d'un large éventail de publics. Dans cet article, nous approfondirons les différents aspects de Django ne pardonne pas, explorant son importance et ses implications dans différents contextes.
Titre original | Mestizo |
---|---|
Réalisation | Julio Buchs |
Scénario | Julio Buchs, Bautista Lacasa, José Luis Martínez Mollá |
Musique | Antonio Pérez Olea |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production | Atlántida Films, José Frade Producciones Cinematográficas S.A. |
Pays de production |
![]() ![]() |
Genre | Western spaghetti |
Durée | 95 min |
Sortie | 1966 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Django ne pardonne pas (Mestizo) est un western spaghetti hispano-italien sorti en 1966, réalisé par Julio Buchs[1].
Antonio Pérez Olea a été récompensé pour la musique du film par le Círculo de Escritores Cinematográficos en 1966.
Un chasseur métis, de mère indienne et de père anglais, s'enrôle dans la police montée. Il veut ainsi se venger d'un officier qui a déshonoré sa sœur, qui s'est ensuite pendue. Mais les choses se compliquent quand éclate une révolte indienne : il va falloir choisir entre deux camps.