Cet article abordera la question de Difficulté d'un sentier, qui a gagné en importance ces dernières années. Difficulté d'un sentier est devenu un point d'intérêt pour divers secteurs de la société, des experts du domaine au grand public. Au fil du temps, Difficulté d'un sentier a démontré son impact dans différents domaines, générant des débats, des recherches et des changements significatifs. C’est pourquoi il est nécessaire d’approfondir son analyse, afin de comprendre son importance et ses implications au niveau mondial. De plus, il est important d’examiner les tendances actuelles liées à Difficulté d'un sentier, ainsi que les scénarios futurs possibles qui pourraient survenir autour de ce sujet.
La difficulté d'un sentier est un indicatif souvent utilisé dans la description d'un sentier de randonnée et qui permet d'estimer la fatigue physiologique que génère son parcours à pied.
Soumise à une part de subjectivité, sa valeur prend généralement en compte la longueur du trajet et son dénivelé positif cumulé, les conditions météorologiques généralement constatées sur place, les dangers liés au milieu traversé ou la nature du sol foulé étant d'autres paramètres importants généralement considérés. L'altitude atteinte peut également entrer en ligne de compte, surtout lorsque le point culminant du parcours est élevé, l'oxygène venant alors à se raréfier, ce qui affecte négativement la condition physique des marcheurs.
Les guides touristiques et les panneaux d'information au départ des sentiers utilisent souvent une échelle simple, la plus basique ne comptant que trois valeurs : « facile », « de difficulté moyenne » et « difficile ». Un site spécialisé tel que Hiking Project emploie cependant des variations supplémentaires, par exemple « easy/intermediate », soit « facile/intermédiaire » en anglais, pour une évaluation qui se veut plus précise.