Dans le monde d'aujourd'hui, Delphine Minoui joue un rôle essentiel dans la vie quotidienne des gens. Que ce soit comme source d'inspiration, comme objet d'étude ou comme référence historique, Delphine Minoui est un thème qui ne cesse de surprendre et de fasciner ceux qui se plongent dans son vaste univers. Au fil des années, Delphine Minoui a attiré l'attention de chercheurs, d'artistes, de scientifiques et d'amoureux du savoir, qui ont consacré des heures et des heures d'étude et de contemplation à comprendre son importance dans la société. Dans cet article, nous explorerons les différentes facettes de Delphine Minoui et découvrirons son impact sur différents domaines de la vie humaine.
Delphine Minoui est issue d'une famille franco-iranienne ; sa mère est française et son père iranien[1]. Son grand-père était diplomate à l'UNESCO. Elle est marquée par une enfance « hypertimide » et choisit de s'orienter vers le journalisme[2].
Delphine Minoui est major de promotion du CELSA (section journalisme) en 1997 puis diplômée de l'EHESS en 1999.
Correspondante de France Inter et France Info dès 1999, elle collabore à partir de 2002 au Figaro. Grand reporter spécialiste du monde arabe, elle est correspondante Moyen-Orient pour Le Figaro depuis 2009, basée à Istanbul[8],[9],[10],[11].
Elle a réalisé et collaboré à plusieurs documentaires et publié plusieurs ouvrages.
Elle a écrit sur Nojoud Ali, la première petite fille à avoir obtenu le divorce au Yémen, sur l'Iran[6], et a également reçu le Grand Prix des lectrices Elle en 2018[14] pour son document sur la résistance pacifique syrienne à Daraya, Les Passeurs de livres de Daraya[8]. En 2023, elle a publié L'Alphabet du silence[2], et en 2024 Badjens (sur la révolte pacifique des femmes et adolescentes iraniennes)[15],[16].
Les Pintades à Téhéran : Chroniques de la vie des Iraniennes (ill. Sophie Bouxom), Paris, Éditions Jacob-Duvernet, coll. « Les Pintades à », , 1re éd., 198 p., 15,5 cm × 24 cm × 1,6 cm, couverture couleur, broché (ISBN978-2-84724-155-6, LCCN2007485179, lire en ligne)
Les Pintades à Téhéran : Chroniques de la vie des Iraniennes, leurs adresses, leurs bons plans (ill. Sophie Bouxom), Paris, LGF/Le Livre de poche, coll. « Le Livre de poche », , 1re éd., 280 p., 11 cm × 18 cm × 1,6 cm, couverture couleur, broché (ISBN978-2-253-08483-9, lire en ligne)
Tripoliwood, Paris, Grasset, , 1re éd., 208 p., 20,5 cm × 13 cm, couverture couleur, broché (ISBN978-2-246-79087-7)
Je vous écris de Téhéran, Paris, Seuil, , 1re éd., 317 p., 22 cm × 14,5 cm × 2,2 cm, couverture couleur, broché (ISBN978-2-02-122357-6)[17]
Elle coréalise avec Bruno Joucla un film documentaire, Daraya, la bibliothèque sous les bombes (Brotherfilms, 2018), inspiré de son livre Les Passeurs de livres de Daraya[18]concernant la bibliothèque clandestine développée lors du siège de Daraya, ainsi que la suite : ce que sont devenus les bibliothécaires après la reprise de Daraya par le régime syrien et le déplacement des populations[19].
↑ a et b« Invité Culture - Delphine Minoui et «Les Passeurs de livres de Daraya» », RFI, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et b« Delphine Minoui : "Aujourd'hui, un Syrien sur deux ne vit plus dans sa ville d'origine" - France 24 », France 24, (lire en ligne, consulté le ).