Dans cet article, nous allons parler de Colette Bonheur, un sujet qui a fait l'objet d'un grand intérêt et de débats ces dernières années. Colette Bonheur a attiré l'attention des universitaires, des professionnels et des passionnés, et ce n'est pas surprenant, compte tenu de son impact sur des aspects aussi divers que la société, la culture, la technologie et l'économie. Au cours des prochaines lignes, nous explorerons les différents aspects de Colette Bonheur, de ses origines à son influence actuelle, en dévoilant ses complexités et en offrant une vision globale de ce sujet fascinant. Nous sommes convaincus qu’à la fin de cet article, vous aurez acquis une connaissance et une appréciation plus approfondies de Colette Bonheur.
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Colette Chailler, dite Colette Bonheur, née le à Montréal et morte le à Freeport, au Bahamas, est une chanteuse québécoise.
Colette Bonheur se fait remarquer à l'émission radiophonique Le fantôme au clavier de CKVL (Montréal), animée par Jacques Normand, Gilles Pellerin et le pianiste Billy Munro à la fin des années 1940. La chanteuse se joint par la suite à la troupe du cabaret Au Faisan Doré de Jacques Normand en .
De 1954 à 1957, elle partage avec Jacques Normand et Gilles Pellerin la vedette de l'émission de variétés Porte ouverte[1], à la télévision de Radio-Canada. Parallèlement, elle chante dans les cabarets montréalais les plus populaires de l'époque tels Cabaret Saint-Germain-des-Prés (Montréal), Le Continental Café, rue Saint-Urbain à Montréal ou Chez Gérard à Québec.
À l'automne de 1954, elle participe, avec Jacques Normand, Gilles Pellerin, Normand Hudon, Pierre Thériault et d'autres à la programmation des Trois Castors, un nouveau cabaret ouvert au-dessus du Café Saint-Jacques. Son interprétation de "Violettes des champs" d'Yves Beauparlant lui vaut le Prix radio au Concours de la chanson canadienne en 1957. En 1961, elle épouse le saxophoniste Gerry Robinson[1] avec qui elle va s'établir aux Bahamas.
Colette Bonheur est la fille de la chanteuse et comédienne québécoise Lise Bonheur (née Léontine Laurendeau) et d'Octave Chailler mariés en 1920 et la sœur[1] de la chanteuse et peintre Guylaine Guy.
Elle meurt le à Freeport[1], aux Bahamas, d'une surdose de barbituriques[2],[3]. Son mari est alors accusé d'homicide involontaire mais est acquitté en [4].