De nos jours, Coco (Koltès) est un sujet qui suscite un grand intérêt et un grand débat dans la société actuelle. Depuis des années, Coco (Koltès) fait l’objet d’études, d’analyses et de réflexions de la part d’experts en la matière. Sa pertinence a transcendé les frontières et a touché différents domaines, de la politique à la culture populaire. Dans cet article, nous explorerons différentes perspectives sur Coco (Koltès), en analysant son influence sur la société et son évolution au fil du temps. De plus, nous examinerons le rôle que joue Coco (Koltès) aujourd'hui et les implications possibles qu'il a pour l'avenir.
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Coco est une pièce de théâtre de Bernard-Marie Koltès.
En 1988, après Roberto Zucco, Bernard-Marie Koltès dispose de plusieurs projets, restés inachevés, dont Coco, qui porte une dédicace à Coco Chanel. Il consiste en trois fragments, retrouvés dans deux chemises portant deux titres :
Ces trois scènes sont des dialogues entre Coco Chanel et sa domestique Consuelo.
Dans Scène douce, Coco reproche sa coquetterie à Consuelo d'abord par le rouge à lèvres comparé à un pot de peinture, puis par les talons, fanfare annonçant la venue d'une femme. Consuelo essaye de défendre les atouts des femmes.
Finalement, dans le deuxième fragment, elle lui demande ce que cela peut bien lui faire, puisque Coco va mourir, Consuelo se révolte contre sa condition de domestique et refuse de ranger quoi que ce soit dans la maison puisque la maîtresse de la maison est mourante.
Dans le dernier fragment sans titre, Consuelo demande à sa maîtresse d'être douce avec elle, elle promet de ne pas la quitter jusqu'à sa mort prochaine. On peut en conclure qu'il serait étonnant que le fragment sans titre soit la suite des deux autres.
Ces trois fragments ont été publiés aux Éditions de Minuit, à la suite de Roberto Zucco et de Tabataba.