Dans cet article, nous plongerons dans le monde passionnant de Clystère, en explorant ses origines, ses principales caractéristiques et sa pertinence aujourd'hui. Depuis ses débuts jusqu'à nos jours, Clystère a joué un rôle fondamental dans divers domaines, suscitant l'intérêt des experts et des passionnés. Dans cette optique, nous approfondirons ses multiples facettes, abordant à la fois son impact sur la société et son évolution dans le temps. Sans aucun doute, Clystère reste un sujet d’étude et de débat passionnant, et dans cet article nous tenterons de faire la lumière sur ses points forts.
Le clystère (emprunté au grec κλυστήρ / klustḗr , « seringue ») est le nom anciennement donné au lavement, un traitement à base d'eau salée ou d'une potion plus complexe, très fréquemment administré dans de nombreuses indications aux XVIIe et XVIIIe siècles.
Par extension, il désigne aussi la grande seringue métallique, généralement en étain, utilisée à cet effet. La période XVIe – XVIIe siècles a pu être qualifiée d’« âge de l'étain ». « l’instrument d'Ambroise Paré avait dû être rapidement remplacé par la canule recourbée. C’est au XIXe siècle que se produira le dernier changement, lorsqu’on passera du système de piston, nécessitant une poussée manuelle, à celui de la pression, par l’élévation d’un bock [1]. »
« Il existait différentes sortes de clystères. Il y avait des clystères purgatifs, des clystères carminatifs (c'est-à-dire pour faire cesser les vents, favoriser l'évacuation des vents), ou encore des clystères lénitifs pour calmer[2]. »
Il existe une revue électronique consacrée à l’histoire de la médecine vue à travers ses instruments nommée Clystère[3].
Le terme clystérophilie désigne aujourd'hui une pratique liée à la scatophilie.