Dans cet article, nous allons plonger dans le monde fascinant de Christopher Pissarides. Qu'il s'agisse d'un personnage historique, d'un phénomène naturel, d'un événement pertinent ou de tout autre sujet d'intérêt, nous plongerons dans son contexte, ses caractéristiques et sa pertinence. Dans cette optique, nous chercherons à comprendre et à analyser en profondeur tous les aspects liés à Christopher Pissarides, en offrant au lecteur une vision plus complète et détaillée de celui-ci. De ses origines à son impact aujourd’hui, nous visons à explorer tous les angles possibles pour offrir une perspective large et enrichissante sur Christopher Pissarides.
Membre de l'Académie d'Athènes |
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Knight Bachelor |
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Naissance | |
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Nom dans la langue maternelle |
Χριστόφορος Αντωνίου Πισσαρίδης boi |
Nationalité | |
Formation |
London School of Economics Université de l'Essex Pancyprian Gymnasium (en) |
Activités |
A travaillé pour | |
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Chaire |
Regius Professor of Economics (d) |
Membre de |
Société d'économétrie () Academia Europaea () Académie royale espagnole d'économie et de sciences financières (en) Académie d'Athènes British Academy |
Directeurs de thèse | |
Distinction |
Christopher Antoniou Pissarides, né le à Nicosie, est un économiste britannico-chypriote. Il est professeur à la London School of Economics.
Il reçoit le Prix de la Banque de Suède en 2010, étant co-lauréat avec Dale Mortensen et Peter Diamond pour leur analyse des marchés avec désaccords de recherche.
Né à Chypre, Pissarides part étudier en Angleterre. Il reçoit de l'Université de l'Essex sa licence (bachelor degree) en 1970 puis sa maîtrise (master degree) en 1971. Il poursuit sa formation à la London School of Economics (LSE) et y obtient son doctorat (PhD) d'économie en 1973[1].
Après avoir travaillé à la Banque Centrale de Chypre et à l'Université de Southampton, Pissarides rejoint le corps professoral de la LSE en 1976. Il y est successivement Lecturer (1976-1982), Reader (1982-1986) puis Professor à partir de 1986[2].
Il est professeur invité à Harvard (1980), Princeton (1984), l'Institut universitaire européen (1989), Berkeley (1990), UCLA (1996), Yale (2000), HKUST (2009) et l'université de Chypre (2010)[2].
Il est notamment célèbre pour avoir introduit la notion de salaire de réserve, salaire en dessous duquel un chômeur décidera de ne pas accepter une offre d'emploi.
Dans une tribune publiée dans Le Monde en avril 2017, il fait partie des 25 lauréats du « prix Nobel » d'économie dénonçant le programme anti-européen de Marine Le Pen pour les élections présidentielles françaises de 2017[3].
Il est fait chevalier en 2013, pour services rendus à l'économie'[5].
Il a obtenu plusieurs titres de docteur honoris causa :