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Carlo Giuseppe Guglielmo Botta |
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Carlo Giuseppe Guglielmo Botta né en 1766 à San Giorgio Canavese, dans l'actuelle province de Turin, au Piémont et mort en août 1837 à Paris est un historien et un médecin italien.
Il étudie la médecine à l'université de Turin où il devient médecin à 20 ans[1].
Mêlé aux événements politiques de l'Italie, il est arrêté en 1792 et doit s'exiler en 1794. Il se réfugie en France où il devient médecin aux armées des Alpes et d'Italie. En 1798, il accompagne l'expédition française qui s'empare des îles Ioniennes. En 1799, il fait partie du Gouvernement provisoire de la Nation piémontaise établi par le général Joubert. Membre du Jury d'instruction publique de la 27e division militaire, il contribue à la reforme de l'enseignement en Piémont suivant les lois françaises, mais leur travail de reforme est abruptement arrêté au moment que Jourdan est remplacé par Jacques-François de Menou comme administrateur de Piémont et que la jury est accusé de fraude[2]. Destitués, les trois membres du jury écrivent un rapport apologétique de leurs activités[3],[4].
Après la réunion du Piémont à la France, il est nommé membre du corps législatif (1803) par les électeurs du département de la Doire. Après la chute de l'Empire, il devient recteur sous la Restauration des Académies de Nancy et de Rouen mais est destitué en 1822. En 1830, il refuse les offres du gouvernement lui proposant de reprendre ses anciennes fonctions[5].
Son fils est l'archéologue Paul-Émile Botta (1802-1870).
Comme historien, Botta est l'émule de Francesco Guicciardini, dont il a complété l'œuvre.
Ses ouvrages écrits en italien, ont été traduits en français.