Le thème de Brigid Balfour est un thème présent tout au long de l’histoire de l’humanité. Depuis l’Antiquité, Brigid Balfour est une source d’étude, de discussion et de réflexion. Son importance transcende les barrières culturelles, générationnelles et géographiques, couvrant des aspects aussi divers que la philosophie, la science, la politique, l'art et la vie quotidienne. Au fil des siècles, Brigid Balfour a fait l'objet de multiples interprétations et a acquis des significations différentes selon le contexte dans lequel il s'inscrit. Dans cet article, nous plongerons dans l’univers fascinant de Brigid Balfour, en explorant ses différentes facettes et sa pertinence aujourd’hui.
Nom de naissance | Brigid Mary Balfour |
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Naissance |
Londres (Royaume-Uni) |
Décès |
(à 79 ans) Hertfordshire (Royaume-Uni) |
Nationalité |
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Institutions | Institut National pour la Recherche Médicale (en) |
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Brigid Mary Balfour, née le à Londres (Royaume-Uni) et morte le à Hertfordshire, est une scientifique britannique, qui a étudié la morphologie cellulaire et l’ultrastructure en relation avec la fonction immunitaire. Elle fit avancer l'étude des cellules dendritiques, réalisant qu'elles sont dérivées des cellules de Langerhans et qu’elles jouent un rôle important dans l’initiation des réactions immunitaires[1].
Brigid Balfour naît en 1914 à St George's Hanover Square à Londres, d’Hylda Neige Paget et Archibald Edward Balfour[2]. Son grand-père maternel était Sir Richard Horner Paget (en), un politicien et baronnet britannique.
En 1937, Balfour co-réalise Vitamins avec Geoffrey Innes, un documentaire sur la découverte de l’importance des vitamines sur la santé générale et les résultats de leur déficience[3].
Balfour commence sa carrière à l'Institut National pour la Recherche Médicale (en) (NIMR) en travaillant dans le domaine de la nutrition, dans le département des normes biologiques, en 1945. En 1957, elle devient membre du département nouvellement formé d’immunologie, travaillant pour John Humphrey, aux côtés de Brigitte Askonas et Walter Brocklehurst. Elle quitte l’institut en 1978[4].