Beyla (nordique)

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Figure mineure de la mythologie scandinave, Beyla est, avec son mari Byggvir, une des servantes de Freyr. Elle est considérée comme la personnalisation de l’abeille (grâce à qui on confectionne l'hydromel).

L’unique apparition connue de Beyla se trouve aux strophes 55-56 de la Lokasenna, où elle annonce la fin du poème : Hlorridi, c'est-à-dire Thor, approche et, avec lui, le châtiment des insolences de Loki :


Beyla qvaþ / Beyla dit :

55.
« Fioll a/ll scialfa,
hygg ec a for vera
heiman Hlorriþa;
hann reþr ró
þeim er rogir her
goð a/ll oc gvma.»
« Le montagnes tremblent toutes,
Je crois qu'est en route
De chez lui Hlorridi ;
Il va imposer le silence
À qui calomnie ici
Tous les dieux et les hommes. »

Loci qvaþ / Loki dit :

56.
« Þegi þv, Beyla !
þv ert Byggviss qven
oc meini blandin mioc;
okynian meira
coma meþ asa sonom,
a/ll ertv, deigia! dritin. »
« Tais-toi, Beyla !
Tu es la femme de Byggvir
Et fort mêlée de mal.
De pire dégénérée,
Il n'est pas venu chez les fils des Ases
Tu es toute crottée, pétrisseuse.»

Sources

  • DUMEZIL, Georges – « Deux petits dieux scandinaves : Byggvir et Beyla », dans : Mythes et dieux de la Scandinavie ancienne – Paris : Gallimard, 2000 (coll. « Bibliothèque des sciences humaines »).
  • SIEVERS, Eduard - « Grammatische Miscellen, 8 : Altnord. Váli und Beyla » - pp.582-84 dans : Beiträge zur Geschichte des deutschen sprache und literatur, n°18 (1894).