Dans cet article, nous explorerons tous les aspects liés à Bernard Auguste Journu, de son origine à son impact sur la société actuelle. NOUS examinerons les différentes théories et études qui ont contribué à notre compréhension de Bernard Auguste Journu, ainsi que leur pertinence dans divers contextes, de l'économie à la culture populaire. Nous aborderons également les implications éthiques et morales associées à Bernard Auguste Journu, et comment celles-ci ont influencé la manière dont ce sujet est traité aujourd'hui. Grâce à une analyse complète, nous chercherons à comprendre le rôle important que Bernard Auguste Journu a joué tout au long de l'histoire et comment il continue de façonner notre monde actuel.
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Bernard Auguste Journu, baron de Saint-Magne, (, Bordeaux - , Bordeaux), est un négociant et homme politique français. Il fut député monarchiste de la Gironde, de 1849 à 1851.
Descendant d'une famille qui a connu une ascension financière remarquable au XVIIIe siècle, il est le fils d'Antoine-Auguste Journu, et le neveu de Bernard Journu-Auber[1], tous deux armateurs et négriers au sein de la maison Journu Frères[2].
Bernard-Auguste devient négociant en vins à Bordeaux, administrateur du dépôt de mendicité de 1827 à 1852 et membre de la commission des hospices en 1828. Il est porté par les monarchistes de son département candidat à l'Assemblée législative dans le département de la Gironde, le , et est élu représentant.
Journu vote avec la majorité antirépublicaine : pour l'expédition de Rome, pour la loi Falloux-Parieu sur l'enseignement, pour la loi restrictive du suffrage universel, etc., et quitte la vie politique en 1851.
Le , il épouse la sœur de Jean-Élie Gautier, député de la Gironde sous la Restauration et pair de France et ministre des Finances sous Louis-Philippe. Il a de ce mariage une fille, épouse Joseph Alexandre de Clouet de Piettre, comte de La Fernandina et vicomte de Jagua, et un fils, Jean-Paul-Auguste Journu.
En 1824 il rachète l'hôtel Dublan situé cours Clemenceau[3].
En 1826, dans le cadre de l'Indemnisation par la république d'Haïti des anciens propriétaires français d'esclaves, Bernard Auguste Journu touche la somme de 853 Francs or[4].