Aujourd'hui, nous souhaitons plonger dans le monde fascinant de Aurelio González Puente. Ce sujet est sans aucun doute l’un des plus importants et d’actualité aujourd’hui, puisque Aurelio González Puente a un impact significatif sur différents domaines de nos vies. De son influence sur la société, la culture, la politique et l'économie à son importance dans nos vies personnelles et professionnelles, Aurelio González Puente joue un rôle crucial dans la façon dont nous comprenons et affrontons le monde qui nous entoure. Tout au long de cet article, nous explorerons les différents aspects et dimensions de Aurelio González Puente, en examinant son impact et sa pertinence dans divers contextes. Nous espérons que cette exploration nous donnera une compréhension plus profonde et plus complète de Aurelio González Puente, ainsi qu'une meilleure appréciation de son importance dans nos vies.
Nom de naissance |
Aurelio González Puente |
---|---|
Naissance | |
Nationalité |
|
2 classements annexes de grands tours ![]() ![]() 2 étapes de grands tours Tour de France (1 étape) Tour d'Italie (1 étape) |
Aurelio González Puente, qui figure dans les palmarès publiés à l'époque où il court sous le nom d'Aurelio Gonzales, né le à Trucíos en Biscaye, est un coureur cycliste espagnol. Bon escaladeur, il est un des rares coureurs à avoir remporté le Grand Prix de la montagne de trois des grands tours cyclistes professionnels : Italie, France, et Suisse. Victime d'une grave chute au Tour de France 1969, il ne retrouve plus ensuite l'aisance qu'il avait dans les cols et cesse la compétition en 1971.
Membre de l'équipe KAS, avec laquelle il remporte le classement par équipes du Tour de France 1966, Aurelio Gonzales réalise une bonne saison 1967. 3e de la Vuelta et premier coureur espagnol, il participe au Tour d'Italie où il remporte une demi-étape[1]. Il remporte le grand prix de la montagne de ce Tour et participe sur les routes italiennes à la victoire de son équipe au challenge collectif. L'année suivante, Aurelio se distingue sur les routes du Tour de France, où paradoxalement il est vainqueur de la 6e étape, Dinard-Lorient, qui n'est pas une des plus pentues de ce Tour. Auteur d'une échappée solitaire, il garde 9 secondes d'avance sur le peloton lancé à ses trousses, et sur le vainqueur du sprint pour la seconde place, un routier rouleur du nom de Walter Godefroot et il termine troisième de la 20e étape. Sur ce Tour, l'équipe d'Espagne conquiert la victoire finale par équipes, après qu'un des siens, Gregorio San Miguel eut porté le maillot jaune dans les Alpes. Aurelio Gonzales, pour sa part est vainqueur du grand prix de la montagne de ce Tour de France[2]. En 1969, c'est au Tour de Suisse qu'il remporte le grand prix de la montagne[3]. Il termine second du classement général remporté par le champion du monde en titre, l'Italien Vittorio Adorni. Et, comme dans les épreuves précédemment citées, il remporte avec l'équipe KAS le classement par équipes. Peu de semaines après, au Tour de France, il chute au cours de la 5e étape, Nancy-Mulhouse. Le visage en sang, ce coureur attachant et peu expansif est contraint à l'abandon.
De 1964[4], année où il passe chez les professionnels, à 1970 Aurelio Gonzales porte les couleurs de l'équipe espagnole KAS.
|
|
4 participations
1 participation
4 participations