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Attentat de Damas | ||
Localisation | Damas (Syrie) | |
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Cible | Tribunal | |
Coordonnées | 33° 30′ 44″ nord, 36° 17′ 54″ est | |
Date | Vers 13 h 10 (UTC+02:00) |
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Type | Attentat-suicide | |
Armes | Ceinture explosive | |
Morts | 32 | |
Blessés | ~ 100 | |
Participants | 1 | |
Organisations | ![]() |
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Mouvance | Terrorisme islamiste | |
Géolocalisation sur la carte : Syrie
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L'attentat du 15 mars 2017 à Damas est un attentat-suicide perpétré dans un tribunal de Damas, la capitale syrienne, le , pendant la guerre civile. L'explosion fait trente-deux morts et une centaine de blessés.
L'attentat a lieu le jour du sixième anniversaire du début de la guerre civile, considérée à ce moment-là comme le conflit le plus meurtrier depuis le début du XXIe siècle. La ville de Damas, aux mains du régime de Bachar el-Assad, est encore durement touchée par le violent attentat contre des chiites quatre jours plus tôt, qui avait fait 74 morts.
Il est environ 13 h 10, ce mercredi 15 mars, quand un homme se présente à l'entrée de l'ancien palais de justice, situé dans le quartier central d'Hamidiyé près de l'entrée du plus célèbre souk de la ville[1] et qui abrite deux tribunaux : le tribunal religieux chargé des affaires matrimoniales et le tribunal pénal. C'est une heure de grande affluence et de nombreuses personnes se trouvent à l'intérieur. La police essaye de l'empêcher d'entrer mais il parvient à leur échapper et se jette à l'intérieur où il se fait exploser, provoquant une puissante détonation[2].
Le bruit et le souffle provoquent une panique dans le bâtiment et de nombreuses personnes se réfugient dans la bibliothèque, située dans les étages supérieurs[2].
Le bilan est de trente-deux morts et d'une centaine de blessés[1].
Le même jour, moins de deux heures après l'explosion, un autre terroriste est repéré par les services de sécurité dans les rues de Raboué, un quartier à l'ouest de Damas. Après une course-poursuite, cerné, il se réfugie dans un restaurant où il actionne sa ceinture d'explosifs, faisant 25 blessés[1].
Le double attentat n'est pas immédiatement revendiqué mais le groupe rebelle salafiste Ahrar al-Cham publie un communiqué dans lequel il « condamne dans les termes les plus forts les attentats terroristes criminels »[1]. Suspecté, le Hayat Tahrir al-Cham a démenti en être l'auteur[3],[4]
L'attentat est finalement revendiqué le 30 mars par l'État islamique, dans une publication de son magazine hebdomadaire en ligne Al Nabaa[5].