Dans le monde d'aujourd'hui, Aristide Locquet de Grandville est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour un large éventail de personnes. De son impact sur la société à ses implications dans le domaine scientifique, Aristide Locquet de Grandville a capté l’attention et la curiosité de nombreuses personnes. Avec des aspects infinis à explorer, cet article cherche à plonger dans le monde fascinant de Aristide Locquet de Grandville, en analysant ses origines, son évolution et ses répercussions dans différents domaines. Dans cette optique, nous nous lancerons dans un voyage de découverte et de réflexion sur Aristide Locquet de Grandville, en essayant de mettre en lumière son importance et ses éventuelles implications dans le futur.
Député de la Loire-Atlantique | |
---|---|
- | |
Conseiller général de la Loire-Atlantique | |
- | |
Maire de Port-Saint-Père | |
- | |
Maire de Port-Saint-Père | |
- | |
Conseiller d'arrondissement |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Formation | |
Activité | |
Père |
Félix Victor Locquet de Grandville (d) |
Parentèle |
Étienne-Julien Locquet de Grandville (d) (grand-oncle) |
Propriétaire de |
Château de la Tour (d), château de Grandville |
---|
Aristide Locquet de Grandville (, Saint-Malo - , Port-Saint-Père), est un militaire et homme politique français.
Aristide Locquet de Grandville est le fils de Félix-Victor Locquet de Grandville, exécuté le 18 juin 1793 pour sa participation à la conspiration de La Rouërie, et de Victoire Jeanne Marie Gouyon de Beaufort. Neveu de Louis-François Carlet de La Rozière et marié à Sophie de Martel, il est le beau-père de Charles-Louis de Tinguy et de Stéphane de Moulins de Rochefort. Orphelin, il a pour tuteur Agathon Pinot du Petit-Bois.
Il sert pendant quelque temps comme officier dans l'armée, puis se retire dans ses propriétés de Port-Saint-Père, où il s'occupe d'agriculture. Héritier du château de la Tour, il le revend et fait construire le château de Grandville entre 1820 et 1825 sur les plans de l'architecte Étienne Blon.
Conseiller d'arrondissement, maire de Port-Saint-Père de 1818 à 1830 puis de 1838 à 1848, connu pour ses opinions conservatrices, il est élu, le , représentant de la Loire-Inférieure à l'Assemblée constituante.
Locquet de Grandville siège à droite, fait partie du comité de l'administration, vote contre le bannissement de la famille d'Orléans, pour le rétablissement du cautionnement, pour les poursuites contre Louis Blanc et Caussidière, pour le rétablissement de la contrainte par corps, contre la réduction de l'impôt du sel, pour la proposition Râteau, contre l'amnistie, pour l'interdiction des clubs, pour les crédits de l'expédition romaine, contre l'abolition de l'impôt des boissons.
Il est élu représentant du même département à l'Assemblée législative, le , reprend sa place à droite, appuie l'expédition de Rome, vote pour la loi Falloux-Parieu sur l'enseignement, pour la loi restrictive du suffrage universel, etc., mais ne se rallie pas à la politique particulière de l'Élysée. Le coup d'État de 1851 le rend à la vie privée.