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L'Arçon | |
![]() L'Arçon à Chenay-le-Châtel près des Morétins. | |
![]() Cours de l'Arçon. | |
Caractéristiques | |
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Longueur | 28,12 km [1] |
Bassin collecteur | la Loire |
Régime | pluvial |
Cours | |
Source | près du hameau de la Roche |
· Localisation | Saint-Bonnet-des-Quarts |
· Altitude | 570 m |
· Coordonnées | 46° 09′ 09″ N, 3° 50′ 19″ E |
Confluence | Loire |
· Localisation | Artaix |
· Altitude | 245 m |
· Coordonnées | 46° 15′ 01″ N, 4° 01′ 15″ E |
Géographie | |
Pays traversés | ![]() |
Départements | Loire Saône-et-Loire |
Régions traversées | Rhône-Alpes Bourgogne |
Sources : SANDRE:« K1106500 », Géoportail[2],[3] | |
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L'Arçon est une rivière du centre de la France, affluent de rive gauche de la Loire, dans les régions d'Auvergne et de Bourgogne-Franche-Comté, dans les départements de la Loire et de Saône-et-Loire.
De 28,12 km de longueur L'Arçon prend sa source sur la commune de Saint-Bonnet-des-Quarts près du hameau de la Roche, à ~570 m d'altitude, dans les monts de la Madeleine[1],[2].
Il se jette dans la Loire en rive gauche, à Artaix près du hameau les Ramiers, à ~245 m d'altitude[3].
Il partage son nom avec le hameau d'Arçon entre Vivans et Changy, où il alimente l'étang d'Arçon[4].
Les communes sont indiquées d'amont en aval.
Saint-Bonnet-des-Quarts, Le Crozet, La Pacaudière, Changy et Vivans[1],[2].
Chenay-le-Châtel et Artaix[1],[3].
L'Arçon a 22 affluents contributeurs référencés dont treize de 1 km de longueur, quatre de 2 km de longueur et trois de 3 km de longueur[1]. Les deux plus grands sont :
Le nom « Cuvette » vient d'une fondation bétonnée qui soutient le canal de Roanne à Digoin passant sur le pont-canal de l'Arçon. Cette structure a été construite après une grave rupture de digue de l'ancienne cuvette dans la nuit du 2 au 3 février 1933, entraînant l'effondrement de la rive gauche de l'aqueduc sous laquelle coule l'Arçon. Le marinier Henri Lespinasse est mort noyé dans l'accident[8].
Le pont-canal est composé de quinze travées qui reposent sur quinze rangées de cinq piliers de sections rectangulaires. Les piliers s'appuient sur une semelle en béton dont l'épaisseur varie, suivant les endroits, de 0,30 à 1,40 m. La cuvette supportée par les piliers a une longueur de 112 m, une largeur de 14 m et une profondeur de 3,20 m. Les travaux ont coûté 1 500 000 francs de l'époque sont réalisés en deux mois. La navigation est ainsi rétablie 4 mois seulement après l'accident[9].