Bienvenue dans l'article de Alexandre Oler, où nous explorerons en détail tous les aspects liés à ce sujet si d'actualité aujourd'hui. Tout au long de cet article, nous analyserons différents points de vue, des recherches récentes, des données statistiques et des témoignages d'experts qui nous aideront à mieux comprendre l'importance de Alexandre Oler dans nos vies. De ses origines à son impact sur la société actuelle, nous examinerons de manière approfondie toutes les dimensions de Alexandre Oler pour offrir à nos lecteurs une vision complète et détaillée de ce sujet. Quel que soit votre niveau de connaissances préalables sur Alexandre Oler, cet article est conçu pour capter votre intérêt et enrichir votre compréhension de ce sujet pertinent.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activité |
Alexandre Oler, fils du peintre et sculpteur juif David Olère et de Juliette Ventura, né à Paris le et mort à Nice le [1], est un homme d'affaires et écrivain français, poète-écrivain de la Shoah.
D'origine juive, il doit porter l'étoile jaune et après l'emprisonnement et la déportation de son père, il doit quitter l'école à 12 ans pour vivre avec sa mère dans la clandestinité, caché dans l'Yonne jusqu'à la fin de la guerre. Par la suite il a une carrière d'homme d'affaires.
Quarante ans après la guerre, Alexandre a pris la plume pour écrire deux livres sur les dessins de son père au sujet d'Auschwitz. D'abord un livre bilingue: Serge Klarsfeld, David Olère: L'Œil du Témoin/The Eyes of a Witness. New York: The Beate Klarsfeld Foundation, 1989.
Ensuite le livre Un genocide en héritage, illustré avec les mêmes dessins. Ce dernier livre est traduit en anglais sous le titre Witness: Images of Auschwitz (fr: Temoignage: Images d'Auschwitz) et traduit en allemand sous le titre Vergessen oder Vergeben — Bilder aus der Todeszone (fr:Oublié ou pardonné - Images de la mort)[2]. Ce dernier livre s'apparente au livre de Dunya Breur et Aat Breur-Hibma: Een verborgen herinnering (fr:Un souvenir caché) (1983).
Il avait déjà publié en 1966 Mots pour maux: poèmes d'arrière-garde et à contre-courant. Il a également publié des poèmes sur le Shoah sous le titre: Les clémentines sans pepins: 21 poèmes pour dire l'indicible (Midi Ed. Promotion, 2003). Ses poèmes, tels que Pépé n'a rien dit sont parfois (re)cité dans des commémorations sur le Shoah[3],[4].