Dans cet article, nous allons aborder le sujet de Académie du Morvan, qui est un sujet d'une grande importance aujourd'hui. Académie du Morvan est un sujet qui a suscité beaucoup d'intérêt et de débats dans différents domaines, de la politique à la science. Il est important d’analyser en profondeur cette question, car elle a un impact important sur la société et sur notre vie quotidienne. Tout au long de cet article, nous explorerons différents aspects liés à Académie du Morvan, de son origine historique à ses implications dans le monde moderne. Nous espérons que cet article fera la lumière sur Académie du Morvan et contribuera à la compréhension de ce sujet très pertinent.
Plusieurs Morvandiaux amis de la culture, de la recherche et du patrimoine régional, pensèrent qu'il serait bon de fonder une société savante œuvrant pour la préservation, le développement et la transmission de la culture morvandelle. Elle est orientée vers l'action destinée à augmenter le prestige du Morvan, à lui donner une âme, en inventoriant et utilisant toutes les ressources, spirituelles, intellectuelles, artistiques et économiques, afin d'étudier et de vulgariser tout ce qui touche à l'archéologie, l'histoire, les lettres, les arts, le folklore, etc. et prendre des contacts populaires par la presse, les cahiers, almanachs, réceptions, conférences, concours, prix et en collaboration fraternelle de tous les groupements existants.
Des commissions de travail sont définies en fonction des thèmes d'études : histoire, économie, archéologie (préhistoire), archéologie (monuments), littérature, géographie, géologie, eaux et forêts, agriculture, flore et faune, folklore, parler morvandeau, monographies de communes, tourisme.
Un bulletin est publié, ainsi que des ouvrages édités. Puis vint le temps des sorties culturelles, une, puis deux par an, dans un des quatre départements bourguignons. L'académie participe financièrement et est représentée au jury du prix littéraire Mme du Morvan qui est attribué tous les deux ans. Elle entretient des relations importantes avec la direction du parc naturel régional du Morvan, les assemblées régionale et départementales, ainsi qu'avec différentes sociétés savantes.
L'académie a aujourd'hui son siège social place Gudin à Château-Chinon. Elle fait partie de l'Association bourguignonne des sociétés savantes[3].
une page réservée à l'académie paraissant tous les deux mois dans le Journal du Centre, traitant de sujets divers a été publiée jusqu'en 2014
l'édition de travaux récents et inédits (six ouvrages importants depuis 1979) confirmant son activité de société savante.
La Lettre numérique de l'Académie du Morvan publiée depuis 2016
Lucien Olivier, ancien chancelier, est le fondateur de la bibliothèque de l'académie qu'il avait installée dans un local obtenu de la municipalité au Centre culturel Condorcet de Château-Chinon. Il l'a commencé avec les nombreuses publications que détenaient la famille Pasquet. Ce travail se poursuit par de nouvelles acquisitions que les membres du Conseil classent dans les meubles récemment acquis. Elle édite régulièrement un annuaire (1968, 1992, 2000, 2006, 2010).
Bulletins
L'Académie du Morvan édite un bulletin bisannuel, qui vise à l'inédit et à la variété des sujets dont le premier numéro a été publié en 1974.
La "Lettre de l'Académie du Morvan " perpétue l’esprit de la Page de l’Académie du Morvan publiée à l’origine de façon régulière dans le Courrier de Saône et Loire puis seulement dans le Journal du Centre jusqu'en 2014.
La Page de l'Académie du Morvan a été publiée à l’origine dans le Courrier de Saône et Loire puis Le Journal du Centre jusqu’en 2014.
Cassette audio
Chant du Morvan
Hommages
Claude Péquinot, Hommage à Claude Rolley, actes 2007.
L'académie a rendu un hommage à trois de ses membres morts au cours de l'année 2010 : Joseph Décréaux, prêtre aumônier à l'hôpital d'Autun, Jean-Pierre Harris, écrivain, haut fonctionnaire, Marcel Corneloup, ancien président du mouvement à Cœur Joie, ainsi qu'à Madeleine Garreau, auteur de nouvelles en français et en morvandiau dont La Mâïon du Grand Jules aux éditions de l'Armançon[6].
Jean-Marie de Bourgoing, « Hommage à Jean-Claude Delafon », in Journal du Centre, no 139, , p. 36.