Ablutions dans le judaïsme

Dans le monde d'aujourd'hui, Ablutions dans le judaïsme est devenu un sujet d'une grande pertinence et d'un grand intérêt pour une grande variété de personnes. Son impact et sa portée sont si importants qu’ils ne passent inaperçus dans aucun domaine. Du domaine académique, en passant par le monde du travail, jusqu'à la sphère personnelle, Ablutions dans le judaïsme suscite beaucoup d'intérêt et de débats. En approfondissant ce sujet, nous réaliserons l’importance qu’il a dans la société actuelle et comment son influence s’est accrue au fil du temps. De plus, nous explorerons ses implications, ses défis et ses solutions potentielles, dans le but de bien comprendre ce phénomène et ses conséquences dans notre vie quotidienne.

Robinet et récipient à deux anses (keli ou natla, נַטְלָה) pour l'ablution des mains devant la synagogue Ramban.

Le judaïsme comporte de nombreuses cérémonies de purification rituelle par ablution. Elles sont surtout pratiquées par les Juifs « religieux ».

Les origines de ces rites et coutumes se trouvent dans le Mishna et le Talmud, et pour certaines dans la Torah. Elles ont été codifiées dans divers codes de lois et traditions juives, dont le Mishneh Torah de Maïmonide (XIIe siècle), et le Shoulhan Aroukh de Joseph Caro (XVIe siècle).

Ces coutumes sont principalement observées par les Juifs orthodoxes. Les Juifs traditionalistes observent principalement les rites de Netilat yadayim, moins les autres.

La bénédiction à réciter est :

« 

בָּרוּךְ אַתָּה
הָ׳ אֱלֹהֵינוּ מֶלֶךְ הָעוֹלָם
אֲשֶׁר קִדְּשָׁנוּ בְּמִצְוֹתָיו
וְצִוָּנוּ
עַל
נְטִילַת
יָדָיִם

 »

« Sois béni, ô Éternel, notre Dieu, roi du monde, qui nous a sanctifiés par ses commandements et nous a ordonné d'élever les mains. »

L'utilisation d'un mikvé est une partie intégrante des cérémonials de purification rituelle, de conversion, et de la tahara.