Dans le monde d’aujourd’hui, Aérotrain I80 250 est un sujet qui a retenu l’attention et l’intérêt de nombreuses personnes. Que ce soit en raison de sa pertinence dans la société, de son impact sur la vie quotidienne ou de son importance dans l'histoire, Aérotrain I80 250 est devenu un sujet de discussion et d'analyse dans divers domaines. Du domaine académique au domaine social, Aérotrain I80 250 a suscité l’intérêt des professionnels, des universitaires, des militants et du grand public. Dans cet article, nous approfondirons Aérotrain I80 250 pour comprendre sa signification, son importance et le rôle qu'il joue dans notre réalité actuelle.
Exploitant(s) | Aérotrain / Jean Bertin |
---|---|
Désignation | Aérotrain Interurbain 80 places |
Surnom | L'« Orléans » |
Type | aérotrain |
Motorisation | 2 turbopropulseurs Turmo IIIC3 |
Composition | prototype / Duralium |
Construction | SECAN / UTA |
Transformation | Aérotrain I80 HV |
Mise en service | mi-1969 |
Effectif | 1 |
Roulement | sustentation par coussin d'air |
---|---|
Entrainement | hélice carénée réversible |
Voie |
monorail 3,40 m ligne d'essai Ruan-Saran |
Alimentation | kérosène |
Moteurs de traction | 2 turbopropulseurs Turmo IIIC3 |
Masse en service | 30 t |
Longueur | 24 m |
Largeur | 3,40 m |
Vitesse maximale | 300 km/h |
Le I80-250 est un modèle d'Aérotrain interurbain sur coussin d'air et propulsion par une hélice carénée à pas réversible (entrainée par deux turbines à gaz), se déplaçant sur un rail en « T » inversé, construit par la société SECAN puis UTA au Bourget (France).
La sustentation par coussin d'air est assurée par une turbine à gaz Turbomeca Astazou de 500 ch. Le train est propulsé par une hélice carénée entraînée par deux turbopropulseurs Turmo IIIC3 (1 300 ch unitaire)[1].
Présenté au Bourget en , le I80-250 atteindra la vitesse de 250 km/h le sur une ligne longue de 9 km[1].
Son hélice sera ensuite remplacée par un réacteur (Aérotrain I80 HV)[2].