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François Bernier : Anatomia ridiculi Muris, hoc est dissertatiunculæ J.-B. Morini astrologi adversus expositam a P. Gassendo philosophiam. Itemque obiter prophetiæ falsæ a Morino ter evulgatæ de morte ejusdem Gassendi ; per Franciscum Bernerium Andegavum, Paris, Michel Soly, 1651, in-4°[1] ;
Jean de Silhon : Esclaircissement de quelques difficultez touchant l'administration du cardinal Mazarin, 1re partie, par le sieur de Silhon (1651)
Naissances
au château de Fénelon à Sainte-Mondane (Quercy, aujourd'hui la Dordogne) : François de Salignac de La Mothe-Fénelon dit Fénelon, mort le à Cambrai, est un homme d'Église, théologien, pédagogue et écrivain français.
↑On trouve aussi le prénom Edmond, mais lui-même utilisait la forme Edme. Cf. Mercure de France, juillet-août 1739, p. 1509 : « Edme Pourchot (car il se nommait ainsi, à la différence du P. Martenne (sic), bénédictin, que nous venons de perdre, lequel signait Edmond Martenne) ».
↑Localité relevant à l'époque du diocèse de Sens, et non de celui d'Auxerre. Cf. ibid., p. 1509-10 : « Il étoit né dans le diocèse de Sens, sur le territoire d'un village nommé Poilly, qui touche à la lisière de celui d'Auxerre, dans un canton qu'on appelle la Vallée d'Aillant, du nom d'un bourg de cette contrée. Je crois que dans son épitaphe, qui se lit au mur du cimetière de Saint-Étienne-du-Mont, du côté du nord, il est aussi qualifié de Senonensis. Mais certainement il était de Poilly, à trois lieues d'Auxerre, et non pas de Sens. Ce n'est pas même à Sens qu'il avait fait le plus de résidence en province, mais à Auxerre. Il y avait pris les premières teintures des sciences, et de là il était venu à Paris ».