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Avant le siège d’Azaz[3], à l’issue des négociations entre les Francs et les Zengides, Renaud de Châtillon et Josselin d’Édesse sont relâchés par l’émir d’Alep Al-Malik[1]. Renaud après quinze ans de captivité dans les prisons d’Alep, ne réussit pas à reprendre Antioche, où règne son beau-fils Bohémond III. Il épouse alors une jeune veuve qui lui apporte en dot des territoires situés à l’est du Jourdain, dont la forteresse de Krak Chawbak. Allié des Templiers, il exerce sur la cour de Jérusalem une influence grandissante. Fanatique, il est partisan d’une politique de conquête face aux musulmans.
30 juillet : pour se venger de l’attentat du , Saladin assiège Masyaf, forteresse des Assassins en Syrie centrale[6]. Menacé d’assassinat par le « vieux de la montagne », Saladin lève rapidement le siège. Il cherchera désormais à se concilier les Assassins, privant ainsi ses ennemis, Francs ou musulmans, d’un précieux auxiliaire.
Automne : Saladin fait construire une enceinte au Caire, réunissant Al-Qahira et Fostat, et une citadelle à l’est de la ville[8]. Al-Qahira, la cité des Fatimides, perd son caractère militaire et une grande partie de ses remparts sont détruits. Elle devient un quartier d’habitation. Fostat, détruite en 1168, est entièrement reconstruite.
25 janvier, Angleterre : Assise de Northampton. L’Église d’Écosse maintient son indépendance vis-à-vis de l’archevêque d’York[11]. L’assise exige de tous les hommes libres un serment de fidélité au roi, ordonne la destruction des châteaux construits illégalement et menace les rebelles des châtiments les plus cruels[12].
↑ a et bAcadémie des Inscriptions et Belles-Lettres, Recueil des historiens des croisades : Historiens orientaux, vol. 1, Paris, Imprimerie nationale, (présentation en ligne)
↑Honoré Jean P. Fisquet, La France pontificale - Histoire chronologique et biographique des archevêques et évêques de tous les diocèses de France., vol. 17, (présentation en ligne)