Étage collinéen

Dans l'article d'aujourd'hui, nous allons approfondir le sujet de Étage collinéen, un sujet qui a suscité un grand intérêt ces dernières années. Étage collinéen est un domaine d'étude qui a retenu l'attention des universitaires, des experts et des passionnés, et a généré des débats et des recherches dans divers domaines. De son impact sur la société à ses implications sur la vie quotidienne, Étage collinéen s'est avéré être un sujet pertinent et en constante évolution. Dans cet article, nous explorerons différents aspects et perspectives de Étage collinéen, afin de faire la lumière sur ce sujet fascinant et de fournir une vision plus complète de son importance dans le monde d'aujourd'hui.

Étage collinéen dans le massif bavarois.
Différents étage de végétation dans le massif des Vosges.

Dans les massifs montagneux de la région eurosibérienne, l'étage collinéen est le premier étage de végétation qui se rencontre lors de la montée en altitude marqué par une diminution de la température (gradient thermique qui est en moyenne de 0,5°C par 100 mètres)[1]. Il est aussi fonction du climat et de l'ensoleillement, par exemple :

  • sous 400 à 500 m dans les Vosges ;
  • entre 500 et 800 m dans les Pyrénées ;
  • entre 500 et 800 m dans les Alpes.

Dans un massif à plusieurs étages, c'est souvent celui qui se rencontre à la base ou le plus bas. Il est précédé de l'étage planitiaire (où les conditions écologiques dans les plaines sont favorables à la formation de prairies et de forêts caducifoliées mélangées) et est suivi par l'étage montagnard.

Il correspond globalement aux zones dites de basse montagne.

Flore

Zone d'extension des espèces à feuilles caduques (feuillus) dans les zones tempérées : chênaie, hêtraie, châtaigneraie[2].

Faune

Faune des forêts de feuillus.

Notes et références

  1. Yvette Veyret, Annette Ciattoni, Géo-environnement, 2011, armand colin, p. 105.
  2. Georges Métailié, Antoine Da Lage, Dictionnaire de biogéographie végétale (NE): Nouvelle édition encyclopédique et critique, CNRS éditions, , p. 109.

Voir aussi