Cet article abordera le sujet de Éliane de Latour, qui a acquis une grande importance ces dernières années en raison de son impact sur divers domaines de la société. Tout au long de l’histoire, Éliane de Latour a fait l’objet de nombreuses études et débats, suscitant un intérêt croissant de la part des universitaires, des experts et du grand public. Cet article cherche à analyser en profondeur les aspects les plus pertinents de Éliane de Latour, en explorant ses multiples dimensions et son influence dans différents contextes. De même, les recherches les plus récentes liées à Éliane de Latour seront examinées, afin de fournir une vision complète et actualisée du sujet. À travers une approche critique et réflexive, il vise à offrir au lecteur une perspective enrichissante qui contribue à une meilleure compréhension de Éliane de Latour et de ses implications dans la société contemporaine.
Directrice de recherche au CNRS |
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Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux (d) () |
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Éliane de Latour est une réalisatrice française, anthropologue, directrice de recherche au CNRS.
Anthropologue[1] de formation, Éliane de Latour est rattachée à l'Institut de recherche interdisciplinaire sur les enjeux sociaux[2]. Elle a tourné son premier film documentaire, Le Temps du pouvoir (1983) au Niger : elle y démontre que dans ce pays « le pouvoir est passé des guerriers aux administrateurs »[3].
Elle s'est ensuite orientée vers les longs métrages et la fiction, dont Bronx-Barbès[4], « film qui fera plus d'entrées que Titanic dans les salles de cinéma africaines parce que, selon la presse locale, il dit la vérité »[1].
Éliane de Latour « porte un regard de l'intérieur sur les mondes fermés de ceux que l'on repousse derrière une frontière physique ou sociale »[5].