Aujourd’hui, Église Saint-Andéol de Bourg-Saint-Andéol est un sujet d’une grande pertinence et d’un grand intérêt pour de nombreuses personnes à travers le monde. Depuis l’Antiquité, Église Saint-Andéol de Bourg-Saint-Andéol fait l’objet d’études, de débats et de réflexions, et son impact couvre divers aspects de la vie quotidienne. Actuellement, l'importance de Église Saint-Andéol de Bourg-Saint-Andéol a été renforcée par l'essor des nouvelles technologies, qui ont ouvert de nouvelles perspectives d'analyse et de compréhension sur ce sujet. Dans cet article, nous explorerons différents aspects de Église Saint-Andéol de Bourg-Saint-Andéol, depuis son origine jusqu'à sa pertinence aujourd'hui, en passant par ses implications dans différents domaines de la vie sociale, culturelle, économique et politique.
Type |
Église paroissiale (Paroisse Saint-Andéol d'Ardèche - Diocèse de Viviers) |
---|---|
Dédicataire |
Saint Andéol |
Construction | |
Propriétaire |
Commune |
Patrimonialité | ![]() |
Département | |
---|---|
Commune |
Coordonnées |
---|
L'église Saint-Andéol est une église située à Bourg-Saint-Andéol, en France[1].
L'église est située sur la commune de Bourg-Saint-Andéol, dans le département français de l'Ardèche.
L'église est placée sous le patronage d'Andéol, évangélisateur de la région de Viviers, disciple de Polycarpe de Smyrne, et compagnon de saint Bénigne[2].
En 1108, l'évêque la confie aux chanoines de Saint-Ruf, au nombre de six. L'église actuelle est alors construite. Elle conserve quelques traces sculptées d'un précédent édifice carolingien. Elle a été consacrée le [3] par le pape Calixte II. Le cloître des chanoines qui la borde fut élevé autour de 1200[2].
L'église fut mise à sac par le baron des Adrets en 1598. L'ordre de Saint-Ruf périclite au XVIIIe siècle. En 1772 la communauté est dissoute[2].
En 1875 commence une campagne de restauration qui cherche à lui rendre un aspect roman.
Les vitraux sont issus d’une commande publique à l'artiste Jean-Pierre Bertrand et réalisés en 1991 par le maître verrier Florent Chaboissier[4].
L'édifice est classé au titre des monuments historiques en 1862[1].