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Au Moyen Âge et sous l'Ancien Régime, un édit royal est un acte législatif du souverain, qui se distingue de l'ordonnance par le fait qu'il ne porte que sur un sujet. Il peut ne concerner qu'un groupe de personnes ou qu'une province[1].
Les édits étaient datés du mois et de l'année (et non du jour) auxquels ils étaient établis. Ils étaient scellés du sceau de cire verte avec des lacs de soie verte et rouge.
Les édits de Pacification, rendus en grand nombre pour suspendre les guerres de religion dans le XVIe siècle : les plus célèbres sont :
l'édit d'Amboise, rendu le par Charles IX, permettant aux Calvinistes de s'assembler, pour l'exercice de leur culte, dans toutes les villes dont ils étaient alors en possession
l'édit de Nantes, publié par Henri IV en 1598, et révoqué en 1685 par Louis XIV. Il accorde aux Calvinistes la liberté de conscience, l'exercice de leur culte, et l'admission aux charges et aux fonctions publiques. Il a été révoqué en 1685 par l'édit de Fontainebleau.
Quelques édits hors de France :
L'édit de Caracalla de 212, également appelé Constitution antonine : il accorde la citoyenneté romaine à tous les hommes libres de l'Empire qui ne l'avaient pas encore.
L'édit de Milan, publié à Milan en 313 par l'empereur Constantin en faveur de la religion chrétienne.
L'édit de Thessalonique, publié en 380 par Théodose Ier et par lequel le Christianisme devient religion officielle de l'Empire romain.
L'édit d'union, publié en 405 par Honorius contre les Donatistes et les Manichéens, et qui avait pour but de réunir tous les peuples sous une seule religion, la religion catholique.
L'édit de Worms, promulgué le par l'empereur Charles Quint pour interdire le luthéranisme
L'édit de Conquête, rendu en 1582, portant sur les mines inondées
L'édit perpétuel : règlement en 47 articles publié en 1611 par l'archiduc d'Autriche Albert pour régler dans ses États l'administration de la justice.
L'édit des kermesses, promulgué en 1786 par Joseph II d'Autriche, stipulant que toutes les kermesses du pays devaient se dérouler le même jour, le deuxième dimanche après Pâques.
Les édits de tolérance, par lesquels les membres d'une religion donnée ne sont pas persécutés.